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La Vision « Djibouti 2035 » est assisse sur les cinq (5) piliers que sont :

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Le Ministère de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche  et de  l’Elevage, Chargé des Ressources Halieutiques

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Actualités

Les Actualités Du Ministére

 

A L’instar Des Pays Du Monde, La République De Djibouti A Célébré Dimanche Dernier La Journée Mondiale De L’Alimentation, à Damerjog, Dont Le Thème Retenu Par Le FAO était « Ne Laisse Personne De Côté ».
Cette cérémonie a vu la participation du ministre de l’agriculture, M. Mohamed Ahmed Awaleh, du ministre de l’environnement et du développement durable, M. Mohamed Abdoulkader Moussa Helem, du ministre des infrastructures et de l’équipement, M. Hassan Houmed, du Représentant du FAO à Djibouti, de la Représentante de l’UNCEF et Coordinatrice des systèmes des Nations Unies par intérim, Mme. Beate Dastel, du préfet de la Région d’Arta, M. Mohamed Cheikho Hassan et du Président du Conseil Régional d’Arta, M. Elmi Bouh Goudade ainsi que plusieurs autres personnalités civiles et militaires. La célébration de cette journée a été marquée par la plantation de 200 arbres sur le site de la ferme expérimentale à Damerjog et l’inauguration de la grande pépinière du ministère. Ces plantes font partie d’un lot de 60 000 plantes de diverses espèces fournis gracieusement par la République Fédérale et Démocratique d’Ethiopie. Dans un discours prononcé à cette occasion, le Représentant du FAO à Djibouti a indiqué : Cette journée est une occasion pour la FAO de lancer un appel urgent à la communauté́ internationale pour qu’elle s’attaque à la réalité alarmante du nombre croissant de personnes laissées pour compte dans le contexte d’une crise mondiale de la sécurité́ alimentaire qui s’aggrave en raison de multiples facteurs, parmi lesquels les incidences des conflits en cours et prolongés, dont la guerre en Ukraine, la pandémie de covid-19 et la crise climatique. Ces problèmes sont encore exacerbés par les pics d’inflation et les hausses spectaculaires des prix des denrées alimentaires, des aliments pour animaux, des combustibles, des engrais et de l’énergie, qui menacent d’engendrer une crise de l’accès à la nourriture dès aujourd’hui et peut-être une crise des disponibilités alimentaires la saison prochaine.» « Atteindre l’objectif de ne laisser PERSONNE de côté́, ne serait-ce que s’agissant de nourrir la population mondiale, sans même parler d’offrir aux gens une vie de paix et d’égalité́ et un avenir inclusif et durable, est clairement une tache colossale. Mais nous ne devons ni nous asseoir en désespoir de cause, ni continuer à faire les choses de la même manière en espérant des résultats différents. Il y a des moyens efficaces de relever ces défis » a poursuivi le Représentant du FAO à Djibouti. De son côté, la Représentante de l’UNCEF et Coordinatrice des systèmes des Nations Unis par intérim, Mme. Beate Dastel a affirmé : «Cette journée revêt une importance particulière. Elle est l’occasion de responsabiliser tous et chacun en mettant en exergue notre collaboration, notre action collective en vue de la réalisation des Objectifs de Développement Durable pour l’épanouissement de toutes et de tous. L’insécurité́ alimentaire s’aggrave en raison de multiples facteurs, parmi lesquels les incidences des conflits en cours et prolongés, dont la guerre en Ukraine, les conséquences de la pandémie de covid-19 et surtout la crise climatique qui menace les écosystèmes globaux. Autant de facteurs qui mettent en péril qui assurent le maintien et fragilisent les systèmes alimentaires pour des millions de femmes, d’hommes et leurs familles. Ainsi, les sols sont dégradés et la valeur nutritive des cultures est réduite, tout en nuisant aux nappes phréatiques et à l’environnement sanitaire. Tout ceci a des conséquences négatives sur la structure de la morbidité́ des populations et sur leur capacité́ à absorber les nutriments. »
MAEPE-RH/FAO : Concertations De Fond Sur La Pêche Illicite Et Ses Conséquences
La salle de réunion du Sheraton a abrité hier la cérémonie de lancement d’un atelier de formation sur la stratégie et la feuille de route de mise en œuvre de l’Accord de la FAO relatif aux Mesures du Ressort de l’État du Port (AMREP)visant à lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. Financées dans le cadre du programme mondial de la FAO, ces sessions de travail ont pour objectif d’améliorer la capacité des états, de mettre en œuvre efficacement les mesures du ressort de l’état du port visant à lutter contre la pêche illicite. Du 22 au 26 mai, le Sheraton hôtel abritera une atelier de formation sur la stratégie et la feuille de route de mise en œuvre de l’accord de la FAO pour les mesures de l’état du port visant à lutter contre la pêche illicite, non déclarée et non réglementée( INDNR). La pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INDNR), constitue un problème urgent dont on estime qu’il soustrait d’importantes ressources économiques et naturelles de l’économie mondiale et de l’environnement marin. Ses effets peuvent être graves, en particulier pour les états côtiers en développement et les petits états insulaires en développement à faibles revenus fortement tributaires de la pêche. Les pays incapables de remplir les obligations internationales en matière de gestion et de gouvernance de la pêche risquent également d’encourir des sanctions commerciales au niveau de leurs exportations halieutiques. En 2007, le Comité des pêches de la FAO a reconnu la nécessité de disposer d’un instrument juridiquement contraignant sur les mesures du ressort de l’État du port pour lutter contre la pêche INDNR. En 2009, la Conférence de la FAO a approuvé l’accord sur les mesures du ressort de l’état du port visant à prévenir, contrecarrer et éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée. Cet accord , entré en vigueur le 05 juin 2016, vise à empêcher les poissons capturés par la pêche INDNR d’entrer dans les marchés nationaux et internationaux en interdisant l’entrée et l’utilisation des ports par des navires étrangers engagés ou soupçonnés d’être engagés dans la pêche INDNR. L’AMREP décrit les rôles et les responsabilités des parties en général et plus spécifiquement des états du port, des états du pavillon dans la mise en œuvre des dispositions prévues. Il décrit par ailleurs les obligations en termes de partage d’information, y compris avec les organisations pertinentes, les Etats Côtiers, et l’État de nationalité du capitaine du navire. Dans ce cadre, la FAO assiste un ensemble de pays bénéficiaires en renforçant leurs capacités à mettre en œuvre de façon effective les provisions de l’accord, et à formuler des stratégies et des plans d’actions nationaux et progressivement satisfaire aux exigences établies ainsi que par les instruments internationaux et mécanismes régionaux. Ces instruments incluent des directives volontaires de la FAO pour la conduite de l’état du pavillon, d’un plan d’action international visant à prévenir, à contrecarrer et à éliminer la pêche illicite, non déclarée et non réglementée, de directives volontaires pour un système de documentation des captures, d’accord de conformité et de directives volontaires visant à marquer l’équipement de pêche de la FAO. Cet appui sera apporté essentiellement à travers un atelier national multipartites visant à sensibiliser les participants au cadre international et régional pour la mise en œuvre des mesures de l’état du port , de réviser les politiques, législations, cadres institutionnels et systèmes de suivi, contrôle et surveillance (SCS) existant, de définir la marche à suivre pour l’introduction de dispositions et de procédures cohérentes avec l’accord, ainsi qu’avec les instruments et mécanismes régionaux de lutte contre la pêche INDNR, et enfin d’identifier les besoins en matière de renforcement des capacités pour la mise en œuvre de l’accord. A noter que l’Accord relatif aux Mesures du Ressort de l’État du Port est le premier accord international contraignant qui cible spécifiquement la pêche illicite, non déclarée et non réglementée (INN). Son principal objectif est de prévenir, contrecarrer et éliminer la pêche illicite afin d’éviter que des navires se livrant à ces activités frauduleuses n’utilisent les ports pour débarquer leurs captures. La cérémonie d’ouverture de cet atelier qui se poursuivra jusqu’au 26 mai a vu la participation du représentant de la FAO à Djibouti Dr Pissang Tchangai Dademanao, du directeur administratif et financier du ministère de l’agriculture, de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques Ali Del Wais.
MAEPE-RH/BAD : Pour Une Meilleure Résilience Face à L’insécurité Alimentaire
Le Ministère de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche, de l’Elevage et des Ressources Halieutiques en collaboration avec la Banque Africaine de Développement a procédé hier au lancement officiel du Programme visant à Renforcer la Résilience face à l’Insécurité Alimentaire et Nutritionnelle dans la Corne de l’Afrique (BREFONS) à la salle de réunion du Sheraton hôtel. Prévu pour une durée de cinq ans avec un coût total de 16 million UC, le projet privilégie une approche à la fois globale, inclusive et innovante pour continuer de développer les moyens de subsistance de 20 000 ménages correspondant à environ 120 000 éleveurs, agro-pasteurs, et petits pêcheurs dont 50% de femmes situées dans les régions d’Ali-sabieh, Tadjourah, Dikhil, Arta et Ambouli dans une dynamique de croissance économique soutenue et plus productive. La ministre des affaires sociales et des solidarités Mme Ouloufa Ismael Abdo , et ministre de l’agriculture par intérim a pris part hier au lancement officiel du programme visant à renforcer la résilience face à l’insécurité alimentaire et nutritionelle dans la corne de l’Afrique. Cette cérémonie qui s’est tenue au Sheraton Hotel a vu la participation de la chef de mission de lancement de ce programme, Chantal Umuhire, du représentant de la FAO à Djibouti Dr Pissang Tchangai Dademanao et du Secrétaire général du ministère de l’Agriculture, Ibrahim Elmi Mohamed. Le projet d’un montant de 13,93 millions UC soit environ 3,5 milliards de francs est financé par le Fonds Africain de Développement (FAD) et mis en œuvre par le Ministère de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Elevage et des Ressources Halieutiques. Le programme a pour objectif de renforcer la résilience face à l’insécurité alimentaire et nutritionnelle, en améliorant ainsi les conditions de vie des femmes, des jeunes et de la population en général. L’objectif spécifique du BREFONS est de renforcer la résilience à l’insécurité alimentaire et au changement climatique en permettant aux pays participants d’améliorer la productivité agropastorale et les systèmes de production dans les zones transfrontalières de la région de l’IGAD (les groupements régionaux), de rendre les chaînes de valeur agropastorales plus compétitives, afin de dynamiser le commerce et les revenus et de renforcer la capacité d’adaptation des populations afin qu’elles puissent mieux se préparer au changement climatique, aux risques climatiques et aux variations climatiques, et à les gérer. Le Ministère de l’Agriculture à travers ce programme a privilégié une approche basée sur l’aménagement et le développement intégré des bassins versants en renforçant les infrastructures de mobilisation et de sécurisation en eau, de développement de l’Elevage et de l’agriculture oasienne mais également de la pêche comme alternative à la réinsertion de populations victimes de la sécheresse. A cet effet, le Gouvernement a porté son choix sur l’aménagement des bassins versants de Weima (Tadjourah), Beyya Dadder (Région d’Ali Sabieh), Gobaad et Hanlé (Région de Dikhil), Douda-Damerjog-DedeyWein (Région d’Arta) Ambouli (zone périphérique de Djibouti), ainsi que des actions de pêche à Obock et Loyada. Les bénéficiaires indirects sont constitués par une bonne partie de la population de Djibouti qui bénéficiera de l’amélioration de la disponibilité et de la qualité des produits agricoles et halieutiques. Toutefois, les actions prévues dans les domaines de la pêche, la santé animale et le renforcement des capacités des structures nationales seront entreprises au niveau national. Les bénéficiaires du projet concernent 20 000 ménages correspondant à environ 120 000 éleveurs, agro-pasteurs, et petits pêcheurs dont 50% de femmes, auxquels il faudrait ajouter les autres acteurs des filières agriculture, élevage, et des secteurs connexes. Le projet cible essentiellement les populations les plus vulnérables, notamment les petits producteurs, les éleveurs et agro–pasteurs et les pêcheurs artisanaux et les femmes intervenant dans la transformation et commercialisation des produits halieutiques.
MAEPE-RH : Faciliter L’accès à L’eau Potable Et L’assainissement En Zone Rurale
Cet atelier de deux jours s’inscrit dans le cadre de la facilitation de l’accès à l’eau potable et l’assainissement en zone rurale. Notons au passage que ce rapport de Baseline qui permettra de renseigner les indicateurs du secteur Wash en milieu rural et celui de plan de travail consolidé par le secteur Wash en 2020. Les drafts des deux documents ont été partagés avec les acteurs sectoriels pour apporter leurs commentaires et suggestion. Les validations de ces deux documents permettront de déclencher la mise en œuvre de la plateforme du dispositif des outils du système de suivi et évaluation du secteur Wash, Eau et Assainissement en milieu rural. Ce dispositif permettra de faciliter l’atteinte des objectifs du gouvernement en créant un processus capable de mesurer périodiquement l’étendue, la profondeur et l’évolution de la mise en œuvre des différentes actions dans le secteur wash.il servira aussi à analyser l’approche d’intervention, les résultats, les effets, les impacts et les limites. Au cours de cette cérémonie, la représentante adjointe de l’UNICEF à Djibouti Mme Alexandra Illmer a tout d’abord remercié le ministre de l’Agriculture et de l’eau pour son engagement et sa vision stratégique en vue d’améliorer la gouvernance sectorielle qui est si fondamentale pour l’amélioration de l’accès aux enfants et leurs familles a des service Eau, Assainissement et hygiène de base durable et de qualité. En poursuivant son discours MmeMme Alexandra Illmer a souligné que « le secteur s’est doté d’un protocole national pour la collecte des données et d’une plateforme numérique pour le traitement, l’analyse des informations et la diffusion des résultats. La disponibilité de données mises à jour permettra au gouvernement d’évaluer ses progrès vers l’atteinte de ses engagements pour la réalisation des cibles 1et 2 de l’accès Wash et l’objectif6 des ODD, d’appuyer la planification efficace des investissements, ainsi qu’un renforcement de la capacité des prestataires de services à fournir des services fiables et sûrs. Ce sera aussi un atout pour le ministère de l’agriculture et de l’eau afin de planifier ses investissements à gérer la performance globale du secteur, et à identifier les populations non desservies »a-t-elle précisé. Dans une brève allocution faite sur place, le Secrétaire General du ministère l’agriculture de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques M. Ibrahim Elmi Mohamed a rappelé que «l’éradication de la soif et la facilité d’accès à l’eau potable et l’assainissement constitue l’une des priorités absolues du gouvernement notamment le MAEPE-RH. Faire de ce vœu une réalité concrète et mettre les populations des zones rurales à l’abri des difficultés liées au stress hydrique sont les nobles missions que poursuit sans relâche la direction de l’hydraulique Rurale du Ministère de l’Agriculture jusqu’aux recoins les plus reculés de notre territoire national. En outre, Le développement durable du secteur, consiste à assurer une meilleure maitrise de l’accès à l’eaux, hygiène et l’assainissement. Pour ce faire une application rigoureuse des mesures de gestion et de planification du développement durable du secteur doit être mise en place ». Il a par ailleurs ajouté que «l’absence d’outils valorisant ces données accentue les difficultés du secteur. En effet la réalisation d’une plateforme d’information sur l’eau et assainissement est plus qu’indispensables » a- t-il indiqué en substance.
Djibouti Participe à La 8ème Conférence Ministérielle De L’OCI Sur La Sécurité Alimentaire Et Le Développement Agricole
Le secrétaire général du ministère de l’agriculture, de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques, Ibrahim Elmi Mohamed, a participé du 25 au 27 octobre à la huitième conférence ministérielle de l’Organisation de la Coopération Islamique sur la sécurité alimentaire et le développement agricole. Lors de son déplacement, le secrétaire général du ministère de l’agriculture était accompagné du Directeur de l’Administration Générale de son département, Ali Del Wais. La huitième conférence ministérielle sur la sécurité alimentaire et le développement agricole de l’Organisation de la coopération islamique s’est tenue dans la ville turque d’Istanbul. Cette conférence qui a duré 3 jours visait à renforcer la coopération et l’échange sur les meilleures pratiques et expériences dans le domaine de la sécurité alimentaire et du développement agricole entre les États membres de l’OCI. Cette rencontre avait également pour objectif de renforcer la coopération et la synergie avec les institutions pertinentes de l’OCI et les organisations régionales et internationales. La conférence a permis aux parties prenantes de discuter d’un certain nombre de sujets. Notamment l’état de l’agriculture et de la sécurité alimentaire dans les états membres de l’Organisation de la Coopération Islamique, le financement de la Banque islamique de développement et de certains fonds islamiques pour des projets dans le domaine de l’agriculture et de la sécurité alimentaire, les programmes de travail de l’organisation pour le développement de les produits agricoles stratégiques (blé, riz et manioc), et le dossier de constitution d’une réserve de sécurité alimentaire de l’OCI. Source La Nation
Première Réunion Du Comité De Pilotage Du PGIRE
Le secrétaire général du ministère de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche, de l’Elevage et des Ressources Halieutique Ibrahim Elmi a présidé lundi la 1ère séance du comité national de pilotage du Projet de Gestion Intégrée des Ressources en Eau « PGIRE » au palais peuple. La salle de réunion du palais du peuple a abrité lundi, la 1ère séance du comité national de pilotage du projet de gestion intégrée des ressources en eau « PGIRE » Cette journée a vu la participation du directeur général de l’agence nationale de de la météorologie de Djibouti Mohamed Ismail Nour, de la chargée de ce projet Beydane Miyir, et les représentants des communautés bénéficiaires de programme Cette première séance du comité de pilotage avait pour but de regrouper les représentants des parties prenantes et des représentants des ministères concernés, les préfets des régions, les représentants des communautés et les partenaires techniques et financiers afin de donner les orientations stratégiques et opérationnelles du projet et valider les plans de travail et le budget annuel mais aussi d’informer le PGIRE de tout nouveau projet intervenant dans le même secteur et avec lesquels le PGIRE devrait collaborer. Dans son discours d’ouverture, le secrétaire général du ministère de l’agriculture de l’élevage de la pêche et ressources halieutiques Ibrahim Elmi a rappelé sa satisfaction de prendre part à la mise en route d’un projet qui vise à atténuer la pauvreté et la vulnérabilité dont sont victimes beaucoup de nos concitoyens. « La vertu d’un projet comme celui-ci qui nous réunit aujourd’hui est justement de bannir ce sentiment de fatalité et d’offrir aux populations rurales, les chances, les possibilités et les perspectives qui peuvent améliorer leur condition de vie. Le gouvernement a fait de la lutte contre la pauvreté et la soif, la priorité des priorités à travers plusieurs projets dont le PGIRE ». Le secrétaire général du ministère de l’agriculture a par ailleurs rappelé l’objectif de ce projet qui est de rapprocher la population rurale en vue d’avoir une administration agricole de proximité qui va de pair avec la décentralisation et la déconcentration. L’objectif de PGIRE est d’améliorer durablement les conditions de vie des ménages ruraux pauvres et de renforcer la résilience au changement climatique dans les zones rurales. Les objectifs de développement du PGIRE sont d’améliorer les revenus des ménages pauvres, y compris les femmes et les jeunes ruraux, et leur accès durable à l’eau et aux ressources des pâturages. Centrés sur le développement participatif et la mise en place d’instruments de planification locale (schémas d’aménagement hydraulique et pastoral), ces objectifs seront atteints en optimisant la disponibilité de l’eau pour répondre aux besoins des populations, de l’élevage et de l’agro-pastoral en promouvant la promotion de bonnes manières en renforçant des capacités des services publics chargés du développement de l’eau et de l’élevage et de l’agro-pastoral. Ce projet permettra aussi de renforcer les capacités de production des ménages ruraux, en particulier des femmes et des jeunes, d’ autonomiser les communautés pour une gestion efficace à long terme des ouvrages hydrauliques et des pâturages, de diversifier les activités génératrices de revenus et les opportunités économiques et d’ améliorer les services de base pour les populations rurales, notamment en nutrition, dans le cadre du processus de décentralisation et en collaboration avec les autres acteurs concernés.
CÉLÉBRATION DE LA JOURNÉE MONDIALE DE L’ALIMENTATION À DJIBOUTI SOUS LE HAUT PATRONAGE DU PREMIER MINISTRE ABDOULKADER KAMIL MOHAMED
A l’instar du monde entier, notre pays a célébré, samedi dans la localité de Daffeynaytou, la journée mondiale de l’alimentation placée sous le patronage du premier ministre, Abdoulkader Kamil Mohamed. Sous le thème « Agir pour l’avenir: Améliorer la production, la nutrition, l’environnement et les conditions de vie », cette journée fut l’occasion de se rassembler et de réfléchir sur l’impact de la Covid-19 dans le milieu rural. La journée a été notamment marquée par les discours des officiels tels que le nouveau coordinateur des systèmes des nations unies à Djibouti, Eric Overvest, qui a lu à cette occasion l’allocution du secrétaire général de la FAO… Le ministère de l’agriculture en collaboration avec la FAO a célébré la Journée Mondiale de l’Alimentation qui a pour thème cette année en «Agir pour l’avenir : Améliorer la production, la nutrition, l’environnement et les conditions de vie » à Daffeynaytou. Cette cérémonie placée sous le haut patronage du premier ministre Abdoulkader Kamil Mohamed a vu la participation du ministre de l’agriculture, de l’eau, de la pêche et de l’élévage chargé des ressources halieutiques Mohamed Ahmed Awaleh, et du représentant de la FAO à Djibouti Dr Pissang Tchangai Dademanao ainsi que plusieurs autres personnalités du système des nations unies à Djibouti. La journée a été marquée par les discours des officiels tels que le nouveau coordinateur des systèmes des nations unies à Djibouti Eric Overvest qui a lu à cet effet le discours du secrétaire général de la FAO. Il s’agit de la deuxième fois que la la Journée Mondiale de l’Alimentation 2021 « JMA » est célébrée pendant la pandémie de COVID-19. En effet, les répercussions de cette maladie ont perturbé les systèmes agroalimentaires et déclenché une récession économique mondiale, engendrant ainsi une réduction considérable des moyens de subsistance et de revenus et une augmentation de l’insécurité alimentaire et des inégalités. C’est pourquoi cette année, le thème est retenu est le même que celui de l’année précédente. Le secrétaire général des Nations Unies a convoqué en septembre 2021 le tout premier sommet mondial sur les systèmes alimentaires afin de créer un consensus autour de nouvelles actions audacieuses visant à transformer la façon dont le monde produit et consomme les aliments, et dans le but de reprendre le chemin vers la réalisation des Objectifs de Développement Durable. En outre, la Journée Mondiale de l’Alimentation 2021 entend attirer l’attention sur la nécessité de soutenir la transformation des systèmes agroalimentaires pour les rendre « plus efficaces, inclusifs, résilients et durables, en ne laissant personne de côté ».
Renforcement De La Résilience, Face à La Sècheresse Des Petits Agriculteurs Et Des éleveurs Dans La Région De L’IGAD
Le ministère de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche, de l’Elevage et des Ressources Halieutiques en partenariat avec l’observatoire du Sahara et du Sahel (OSS),Global Water Partnership et Adaptation Funda a organisé hier dans la grande salle de conférence du Sheraton Hôtel un atelier sur le projet de renforcement de la résilience à la sécheresse des petits agriculteurs et des pasteurs de la région de l’IGAD. Il s’agit de la seconde réunion du comité de pilotage régional de renforcement de la résiliente à la sécheresse des petits exploitants et pasteurs de la région de l’IGAD-DRESS-EA. Cette seconde réunion du comité de pilotage est une action concrète issue de cette synergie pour partager les expériences rencontrées, de développer en urgence une meilleure surveillance de la sécheresse dans la corne d’Afrique en se dotant d’un réseau commun d’un système d’alerte précoce efficace et adéquat sur la prévention de la sécheresse. L’évènement a regroupé sur place le secrétaire général du ministère de l’agriculture, M. Ibrahim Elmi, le secrétaire de l’observatoire du Sahara et du Sahel (OSS) M.Nabil BenKhata, du secrétaire général du ministère de l’environnement et de forêt du Kenya M. Chistopher Kipto, du secrétaire général du ministère de l’eau et de l’environnement de l’Ouganda M. Alfred Okot Okidi, du secrétaire général du ministère de l’irrigation et des ressources en eau du Soudan M. Dawalbeit A. Mansourdu directeur de l’Eau Saïd Khaireh, du representant du Global Water Partenership M. George SangaKavulunze du representant de l’IGAD, les directeurs des départements ministériels, les coordinateurs des projets. L’objectif de ce projet est de renforcer la résilience des petits agriculteurs et pasteurs dans la région de l’IGAD. L’accent sera mis sur l’amélioration des moyens de subsistance des parties prenantes ciblées. Le projet cible quatre pays (Djibouti, Kenya, Soudan et Ouganda). La dimension régionale du projet aidera à consolider la synergie entre les quatre pays bénéficiaires en renforçant l’apprentissage mutuel et en favorisant la participation et l’échange d’expérience. Les objectifs spécifiques du projet : • Améliorer la résilience des populations grâce à un système d’alerte et fournir des informations pertinentes et opportunes sur les phénomènes météorologiques extrêmeliés au changements climatique et améliorer les existants (s’il y’en a). • Renforcer et améliorer la capacité la capacité des principales parties prenantes dans la gestion des risques de sécheresse aux niveaux régional, national et local. • Appuyer les communautés à entreprendre des actions d’adaptation innovantes qui renforcent leur résilience à la sécheresse. • Améliorer la gestion des connaissances et le partage d’information sur la résilience à la sécheresse. Le secrétaire de l’observatoire du sahara et du sahel (OSS) M. Nabil Ben Khata a rappelé que ce projet est mis en œuvre pour les populations bénéficiaires qui ne peuvent pas attendre et qui sont très vulnérables face au changement climatique et que notre action est très importante. Le dernier rapport du GIEG parue en août dernier montre les dégâts et les impacts que nous aurons suite au changement climatique. L’OSS est à votre disposition pour vous aider à accéder à des ressources financières et ils sont disponibles maintenant et nous devons saisir ces opportunités pour faire bénéficier de nos populations.
Le Ministre De L’Agriculture Prend Part Au Sommet Mondial Sur Les Systèmes Alimentaires
Le ministre de l’agriculture, de l’Eau, de la Pêche et de l’Elevage M.Mohamed Ahmed Awaleh a fait la semaine dernière une allocution en vidéo conférence au sommet mondial sur les systèmes alimentaire avec à ses côtés le représentant de la FAO à djibouti et auprès de l’IGAD Dr Pissang Tchangai Dademanano ainsi que la représentante du PAM à Djibouti Mme Mary Njoroge en presence du Secretaire General du Ministere de l’Agriculture M.Ibrahim Elmi. Il a appelé à la mise en place d’un mécanisme de financement pour la sécurité alimentaire et nutritionnelle en Afrique, mené par la première institution financière d’Afrique, la Banque africaine de développement. Nous vous reproduisons la quintessence de l’intervention du ministre. Les systèmes alimentaires de Djibouti s’inscrivent dans un contexte difficile : une très forte aridité et des effets négatifs des changements climatiques sur les systèmes de production, une urbanisation très rapide, une grande concurrence entre productions alimentaires nationales et importations. Face à un environnement naturel sous forte pression et dans une région où la géopolitique est complexe, avec la proximité du Yémen, de la Somalie et de l’Ethiopie, Djibouti a fait de nombreux efforts pour promouvoir des approches innovantes dans le cadre de la sécurité alimentaire qui ont contribué à rendre le pays de plus en plus résilient face au défi de la dépendance des systèmes alimentaires nationaux vis-à-vis des marchés internationaux. En effet, depuis des années, des investissements importants ont été réalisés dans les domaines de l’eau, afin d’assurer l’accès durable de l’ensemble de la population à l’eau potable et à l’eau productive : F 170 forages profonds en milieu rural, dont 70% fonctionnant à l’énergie solaire ; F 1520 puits et plus de 300 citernes enterrées et excavations ;  61 micro-barrages et 7 barrages de rétention d’eau avec une capacité globale de plus de 20 Millions de m3. En ce qui concerne le milieu urbain, compte tenu de l’accroissement démographique, des extensions des infrastructures portuaires et de l’implantation d’industries au niveau des free zones, deux grands projets,à savoir : l’adduction d’eau potable Hadagala-Djibouti pour un volume journalier de 100.000 m3/ jour et l’unité de dessalement de Doraleh d’une capacité de 25.000 m3 / jour, ont été réalisés pour satisfaire entièrement les besoins des centres urbains en eau potable. Tous ses efforts déployés ont abouti à affranchir de la soif les populations vivant tant en milieu rural qu’urbain, avec la gratuité de l’eau potable en milieu rural. Djibouti importe environ 80% de son alimentation et dans le but de réduire cette dépendance vis-à-vis de l’extérieur, différents projets et programmes ont été réalisés permettant : F L’augmentation de la production agricole par le développement d’une agriculture maraichère intensive avec l’introduction de cultures sous-serres et l’installation de système d’irrigation en goutte-à-goutte. Ainsi, les rendements sont en nette augmentation. Aussi, compte tenu des conditions climatiques arides de Djibouti, le choix du palmier dattier reste primordial dans le cadre du renforcement des systèmes alimentaires. Pour répondre aux besoins des agriculteurs en plants,une unité de production de plants in vitro d’une capacité de 10 000 vitro-plants par an en variétés nobles et productives a été mise en place et le défi de l’indisponibilité des plants dattiers est désormais révolu sur le plan national.
Sensibilisation Sur Le Processus D’examen Biennal Du 3e Rapport PDDAA De L’Union Africaine
Le ministère de l’agriculture a organisé mercredi dernier un atelier de sensibilisation des parties prenantes sur le processus d’examen biennal du 3ème rapport PDDAA de l’Union Africaine, en présence d’une vingtaine de participants. Cet atelier avait pour objectif de mobiliser les différentes parties prenantes djiboutiennes par rapport aux engagements de Djibouti dans la déclaration de Malabo et d’engager les différents secteurs dans le cadre d’un système permanent de collecte de données permettant d’alimenter le 3ème rapport national de revue biennale et d’améliorer les résultats de la république de Djibouti dans la mise en œuvre de la déclaration de Malabo pour la transformation de l’agriculture. L’Union Africaine a lancé en 2014 le Programme Détaillé de Développement de l’Agriculture en Afrique (PDDAA) qui a été adopté comme cadre politique pour la transformation agricole en Afrique. Lors de la 23ème session ordinaire de l’Union Africaine à Malabo, les dirigeants africains ont renouvelé leur engagement en faveur du PDDAA en adoptant la déclaration de Malabo sur la croissance et la transformation agricoles accélérées pour la prospérité partagée et l’amélioration des moyens de subsistance. Les deux premiers rapports biennaux sur les progrès réalisés dans la mise en œuvre de la Déclaration de Malabo ont été présentés respectivement en janvier 2018 et en février 2020 à Addis-Abeba au sommet des chefs d’état et un grand nombre de pays africains dont notamment la république de Djibouti a soumis leurs rapports nationaux. Au cours de cet atelier, il a été souligné l’importance de l’appel lancé par l’Union Africaine aux États membres pour mobiliser des capacités techniques adéquates et accroître les investissements publics et privés, afin d’atteindre les engagements du PDDAA-Malabo d’ici 2025 et surtout de renforcer la capacité des équipes nationales du PDDAA, en mettant l’accent sur les systèmes de collecte de données agricoles. C’est dans ce contexte précis que Djibouti a reçu un appui financier de la part de l’ONG internationale AGRA (l’Alliance pour une Révolution Verte en Afrique) et ce au moment opportun où Djibouti s’apprête à élaborer son troisième rapport biennal 2021. Ainsi, le fond Alloué servira d’une part à assurer le renforcement de capacités en moyens et en matériel de l’équipe nationale djiboutienne du PDDAA chargée de la collecte et de l’analyse des données. Il permettra d’autre part de concrétiser la tenue de deux ateliers nationaux dont notamment le présent atelier de sensibilisation des parties prenantes sur le processus d’examen biennal du 3eme rapport PDDAA de l’Union Africaine qui et un atelier de validation du rapport biennal 2021 prévu avant mi- août 2021.
Formation De Recyclage Des Auxiliaires Des élevages FAO/Direction De L’Elevage à Ali-Sabieh
Dans le cadre du projet DEGCP/DJI/034/EC : renforcement de la productivité des productions végétales et animales à Djibouti – Re.Pro.Va
Cérémonie De Réception D’un Aéronef Pulvérisateur D’insecticide
Lors d’une cérémonie qui s’est déroulée, le jeudi 24 juin dernier dans la grande salle de réunion des locaux de l’Autorité de l’Aviation Civile (AAC), sis à l’Aéroport International d’Ambouli, le Ministre de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche, de l’Elevage chargé des Ressources Hydrauliques, Mohamed Ahmed Awaleh accompagné de son collègue de la Santé, le Dr. Ahmed Robleh Abdilleh, a réceptionné un aéronef pulvérisateur d’insecticide qui permettra non seulement au MAEPE-RH à faire face à une éventuelle invasion acridienne à Djibouti, mais qui sera également utile au ministère de la Santé dans son programme de lutte anti-vectorielle. Cette cérémonie de réception a rassemblée en plus du Ministre de l’Agriculture et le Ministre de la Santé, le Représentant de la FAO à Djibouti et auprès de l’IGAD Pissang Tchangai Dademanao, le Secrétaire Général du MAEPE-RH, Ibrahim Elmi Mohamed, son homologue de la Santé, Dr Salah Banoita, le Coordinateur national du PRULAC, Baragoita Said Mohamed, le Directeur Général de l’Autorité de l’Aviation Civile, Daoud Ali Abdou et plusieurs autres personnalités issus de l’AAC et des départements ministériels de la Santé et de l’Agriculture. Organisé par le MAEPE-RH, l’événément s’inscrit dans le cadre du projet de réponse d’urgence de lutte contre le criquet pélérin (PROLAC) financé par l’Association Internationale de Dévéloppement (IDA), filiale de la Banque Mondiale. Lors de cette cérémonie d’importance capitale non seulement sur la situation sanitaire de la population mais également celle de la production agricole du pays, le secrétaire général du MAEPE-RH Ibrahim Elmi Mohamed, le Directeur Général de l’AAC, Daoud Ali Abdou et du coordinateur du PRULAC, Baragoita Said ont paraphé ensemble les documents relatifs à l’immatriculation de cet appareil, lesquels lui permettront de voler légalement sur le territoire national et même si besoin est, sur ces ceux des pays voisins, dans le cadre de la lutte contre ces criquets ravageurs des cultures agricoles et des pâturages, menaçant ainsi la sécurité alimentaire et nutritionnelle dans plusieurs pays de la région dont le nôtre. Dans une brève intervention prononcée à cette occasion, le Ministre Mohamed Ahmed Awaleh a souligné l’importance de cette nouvelle acquisition pour le pays. « Cet aéronef contribuera aux efforts du gouvernement pour lutter contre le phénomène des sauterelles sahraouis et les allégations des maladies causées par les moustiques et les mouches » a-t-il indiqué.
Djibouti Se Dote De Son Premier Avion Pour La Lutte Anti-acridienne
L’arrivée cet après-midi 17:05 de l’avion pour la lutte contre les criquets pèlerins mais également contre les moustiques et autres insectes du même type. Cet avion flambant neuf acquis par le Ministère de l’agriculture grâce à un financement de la Banque Mondiale est le premier du genre pour la République de Djibouti. Désormais notre pays sera doté de ses propres moyens pour faire face à lutte contre les criquets pèlerins, les moustiques et toutes autres insectes. La cérémonie de réception officielle aura lieu le jeudi 24 juin 2021. Cet événement marquera sans aucun doute le 44iéme anniversaire de notre indépendance.
La FAO Et Le MAEPE-RH S’engagent Ensemble Sur Le Terrain Contre Le Criquet Pèlerin
Depuis que de nouvelles petites bandes larvaires de criquet pèlerin ont été détecté dans le sud-est de Djibouti, durant la fin du mois de mai 2021, l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a accru ses efforts pour renforcer le dispositif de prévention et d’intervention rapide auprès du Ministère de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche, de l’Élevage et des Ressources Halieutiques (MAEPE-RH) de la République de Djibouti. 20 juin 2021, Djibouti – Le système d’alerte mis en place par Djibouti, avec l’appui de la FAO, a permis de détecter la présence de petites bandes larvaires dans le sud-est du pays. Des équipes ont été dépêchées sur place dès la réception de l’alerte et des opérations de traitements sont actuellement en cours. Afin d’appuyer ces efforts, et en complémentarité avec les matériels ayant déjà été fournis au gouvernement djiboutien. La FAO vient d’octroyer aux équipes de lutte un ensemble de matériels et d’équipements comprenant des équipements de protection individuelle, des pulvérisateurs, du matériel de radiocommunication, et du matériel de camping. « Le plan d’action que nous avons mis en place ensemble l’année dernière commence maintenant à porter ses fruits. Djibouti a pu détecter les criquets dès leurs éclosions et nous avons su réagir rapidement et efficacement. Ne baissons pas la garde. La lutte contre le criquet pèlerin est une lutte en continu. Le gouvernement djiboutien est à la tête de cette lutte mais nous restons prêts à vous appuyer. » -- Dr Dademanao PissangTchangai, Représentant de la FAO à Djibouti et auprès de l’IGAD. Le Criquet pèlerin (Schistocerca gregaria) est le ravageur migrateur le plus destructeur au monde. Il est très vorace et cible les cultures vivrières et fourragères. Pour illustrer l’ampleur des potentiels dégâts, un seul kilomètre carré d'essaim, peut consommer en une journée la même quantité de nourriture que 35 000 personnes. C’est pourquoi, ils constituent une menace sérieuse pour la sécurité alimentaire et les moyens d'existence des populations rurales. Djibouti, et la sous-région d’Afrique de l’Est a vécu la plus grave invasion de criquet pèlerin depuis 25 ans en novembre 2019, causant des pertes agropastorales estimées à 6,5 millions USD. Tous les efforts sont mis en œuvre afin que cela ne se reproduise plus. Djibouti a lancé son plan national de lutte contre le Criquet Pèlerin, le 27 août 2020 prévoyant un ensemble de dispositifs de surveillance, d’opérations de contrôle, de gestion des pesticides et des ressources humaines. La FAO a accompagné le gouvernement tout au long de ce processus, avec le soutien des partenaires de ressources tels que la Banque Mondiale, la République Fédérale d’Allemagne, EuropeAid (Union Européenne), la Fondation Mastercard, le Royaume des Pays-Bas et la Fondation Bill & Melinda Gates. Source FAO
Lancement Officiel Du Projet De Gestion Intégrée Des Ressources En Eau Au Sheraton Hôtel De Djibouti
L’objectif de PGIRE est d’améliorer durablement les conditions de vie des ménages ruraux pauvres et de renforcer la résilience au changement climatique dans les zones rurales. Les objectifs de développement du PGIRE sont d’améliorer les revenus des ménages pauvres, y compris les femmes et les jeunes ruraux, et leur accès durable à l’eau et aux ressources des pâturages. Centrés sur le développement participatif et la mise en place d’instruments de planification locale (schémas d’aménagement hydraulique et pastoral), ces objectifs seront atteints en: (i) optimisant la disponibilité de l’eau pour répondre aux besoins des populations, de l’élevage et de l’agro-pastoral; (ii) la promotion de bonnes pratiques agricoles pour des écosystèmes plus résilients au changement climatique; (iii) le renforcement des capacités des services publics chargés du développement de l’eau et de l’élevage et de l’agro-pastoral; (iv) le renforcement des capacités de production des ménages ruraux, en particulier des femmes et des jeunes; (v) autonomiser les communautés pour une gestion efficace à long terme des ouvrages hydrauliques et des pâturages; (vi) diversifier les activités génératrices de revenus et les opportunités économiques; et (vii) l’amélioration des services de base pour les populations rurales, notamment en nutrition, dans le cadre du processus de décentralisation et en collaboration avec les autres acteurs concernés. Le projet comportera trois composantes, dont deux techniques et une de coordination. Composante 1: Amélioration de la disponibilité et de la gestion de l’eau en milieu rural. Composante 2. Amélioration des moyens de subsistance des ménages ruraux. Composante 3. Appui institutionnel, développement communautaires et coordination du projet. Le PGIRE est prévu pour une durée de 6 ans pour un montant total d’environ 13,5 million USD dont le prêt hautement concessionnel du FIDA d’environ 6,6 million USD de dollars dans le cadre des fonds propres des allocations aux pays, sous forme de prêt à taux hautement concessionnel.
Atelier D’achèvement Du PRAREV : Des Discussions Axées Sur Les Résultats Et Les Réalisations Du Programme
Le Directeur administratif et financier du ministère de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche, de l’Elevage et des Ressources halieutiques, secrétaire général par intérim de ce ministère, Ali Del Wais a présidé hier matin, sous les lustres du Sheraton Hôtel, un atelier d’achèvement du programme d’appui à la réduction de la vulnérabilité dans les zones de pêches côtières (PRAREV). Organisé par l’unité de coordination et de gestion du programme (UCGP), ledit atelier était l’occasion entre les participants de discuter sur les résultats et les réalisations de ce programme. L’unité de coordination et de gestion du programme d’appui à la réduction de la vulnérabilité dans les zones de pêches côtières communément appelé PRAREV, a organisé hier matin un atelier d’achèvement dudit programme. L’événement a réuni dans la salle de banquet ‘‘Sagalou’’ du Sheraton Hôtel, le directeur administratif et financier du MAEPE-RH, secrétaire général par intérim de ce ministère, Ali Del Wais, le directeur du département Pêche, Ahmed Darar Djibril, la coordinatrice de ce projet, Baydan Mohamed Miyir, le directeur de l’hydraulique rural, des membres des conseils régionaux d’Obock, de Tadjourah, d’Arta et des représentants des organisations tel que le FAO, le PAM, les présidents des organisations professionnelles du secteur de la pêche et des représentants du CERD. Il est à noter que ledit programme a été financé conjointement par le FIDA et le MAEPE-RH. Il a bénéficié d’un appui technique du PNUD, du FAO, du CERD, du PAM, du CEPEC et de l’ADDS. Lors de la cérémonie inaugurale de cet atelier, le directeur du département Pêche du MAEPE-RH, Ahmed Darar Djibril a retracé l’historique de ce programme destiné à appuyer les populations des zones côtières affectées par les changements climatiques pour améliorer leur résilience, réduire leur vulnérabilité et promouvoir la cogestion des ressources marines. Le secrétaire général par intérim du MAEPE-RH Ali Del Wais a dans son discours d’ouverture de cet atelier souligné «ce programme est le fruit de la coopération entre la gouvernement de Djibouti et le FIDA avec un budget total de 13 millions de dollars américain.» Selon ce haut responsable de ce ministère, ce programme décline sur 3 importantes composantes techniques à savoir l’appui à la résilience des habitants et du profil côtier, la promotion des chaînes de valeurs pêche et le renforcement des capacités des professionnelles de ce secteur.
Le Ministre Mohamed Ahmed Awaleh Reçoit Une Délégation Du Ministère De L’agriculture De La Jordanie
Le ministre de l’Agriculture, de l’Eau, de la Pêche, de l’Elevage et des Ressources Halieutiques, Mohamed Ahmed Awaleh, a reçu hier, dans son cabinet, une importante délégation du ministère de l’agriculture du royaume de Jordanie conduite par le directeur général du Fonds hachémite pour le développement, Atouf Asaid Jamal Al-Fayez, et comprennant un comité technique du ministère jordanien de l’Agriculture dirigé par le Dr Issam Hawa, directeur de la direction vétérinaire. La rencontre s’est déroulée en présence de hauts responsables du ministère de l’Agriculture, parmi lesquels le secrétaire général, Ibrahim Elmi Mohamed, le directeur des ressources animales et des services vétérinaires, Dr Moussa Ibrahim Sheikh, le directeur général de centre de quarantaine pour l’exportation de bétails à Djibouti, Dr Mohamed Mouhyiddin Al-Houdi, et le directeur des relations publiques, Faress Omar Mohamed. D’emblée, le chef de la délégation jordanienne a fait savoir que sa visite à Djibouti a pour objectif d’évaluer la possibilité d’importer des bétails vivants du centre de quarantaine vers la Jordanie. Ensuite, les deux parties ont discuté de la coopération bilatérale entre Djibouti et Amman ainsi que des moyens de les développer davantage, notamment en ce qui concerne l’exportation de bétails de Djibouti vers le Royaume de Jordanie. Les discussions se sont poursuivies sur la question de mettre en œuvre des exigences sanitaires strictes et d’atteindre les normes internationales les plus élevées mentionnées dans la constitution de l’organisation internationale de la santé animale et des organisations internationales apparentées, qui visent à assurer l’exportation de produits sains vers le royaume hachémite de Jordanie. Il est à noter que la délégation jordanienne a visité la veille le centre de quarantaine pour l’exportation de bétails situé à Damerjog.
MAEPE-RH/FAO La Lutte Contre Le Criquet Pèlerin : Une Priorité Nationale
La FAO en collaboration avec le ministère de l’agriculture a organisé hier un atelier de formation des formateurs au Djibouti Place Kempinski. Ces assises qui se poursuivront jusqu’au 17 septembre ont rassemblé toutes les personnes impliquées de prés ou de loin dans la lutte contre le criquet pèlerin dans notre pays. L’organisation des nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) a répondu à l’appel du ministère de l’agriculture, de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques (MAEPE-RH) de la République de Djibouti pour faire face à l’invasion de criquet pèlerin qui sévit dans la région de la Corne de l’Afrique depuis le mois de novembre 2019. L’objectif de cet atelier d’une durée de 5 jours , est de renforcer les capacités des personnes ressources en République de Djibouti pour prévenir et mieux gérer une crise acridienne, et ainsi réduire significativement les effets dévastateurs d’une invasion. Cette formation s’inscrit dans le cadre du Plan d’action National de lutte contre le criquet pèlerin validé précédemment le 27 Août 2020. Au total, 27 participants bénéficieront directement de cette formation, dont 5 coordonnateurs de la FAO dans les régions, plusieurs cadres et techniciens du MAEPE-RH issus des 5 régions du pays. Ces formateurs formeront, à leurs tours, les équipes au niveau régional. Au terme de cinq jours d’intenses travaux, la formation destinée à renforcer les connaissances des personnes chargées de lutter contre les invasions de criquet pèlerin s’est clôturée jeudi en fin de matinée à l’hôtel Kempinski L’objectif de ces assises studieuses qui ont débuté le 13 septembre, étaient de renforcer les capacités des personnes ressources en République de Djibouti pour prévenir et mieux gérer une crise acridienne, et ainsi réduire significativement les effets dévastateurs d’une invasion.
Eau Potable, Assainissement Et Hygiène : Comment Surmonter Les Difficultés
Le ministère de l’agriculture de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques à travers la direction l’hydraulique rurale en partenariat avec le bureau de l’Unicef a organisé hier à l’hôtel Palace Kempinsky un atelier de trois jours sur les outils d’analyse des goulots d’Etranglements pour les services d’eau Potable, d’assainissement et d’hygiène (WASH-BAT). L’objectif global de cet atelier est l’analyse des goulots d’étranglement et de chercher à dégager un consensus sur les problèmes sectoriels et les solution pratiques qui peuvent être mises en œuvre pour donner une impulsion au progrès et à la réforme du secteur, et il mobilise les ressources nécessaires à leur mise en œuvre. L’atelier de l’analyse se déroulera pendant trois jour et sera animé par un bureau d’Etudes dénommé SIWI recruté à cet effet et sera appuyé par des Facilitateurs et des Rapporteurs nationaux lors des travaux de groupes thématiques (Eau potable, Assainissement, hygiène et changement climatique). L’évènement a réuni sur place le Secrétaire General du ministère l’agriculture de l’eau, de la pêche, de l’élevage et des ressources halieutiques M. Ibrahim Elmi Mohamed, la Représentante de l’UNICEF à Djibouti Mme Melva Jonhson, le directeur de l’hydraulique rurale M. Said Khaireh Youssouf, les représentants des institutions publics, les représentants des partenaires au développements, les représentants des préfectures et conseil régionaux des régions de l’intérieur, et un parterre d’invités. Dans son discours lors de cette cérémonie, le Directeur de l’hydraulique rurale M. Said Khaireh Youssouf a indiqué que « l’outil permet l’élaboration de plans chiffrés et hiérarchisés pour éliminer les goulots d’étranglement qui limitent le progrès dans le secteur de l’eau potable, d’assainissement et Hygiène. Et il a souhaité un franc succès, afin que des initiatives de ce genre soient multipliées et puissent renforcer la collaboration entre l’Unicef et le ministère pout les intérêts communs et le bien-être de nos populations respectives.»
Le LABORATOIRE NATIONAL D’ANALYSES ALIMENTAIRES (LANAA) Vient D’obtenir L’accréditation UKAF ISO 17025-2017
Le LABORATOIRE NATIONAL D’ANALYSES ALIMENTAIRES (LANAA) vient d’obtenir l’accréditation UKAF ISO 17025-2017 et a fêté l’occasion le Mercredi 19 Août 2020. Le laboratoire LANAA poursuit cette démarche d’accréditation depuis plusieurs années et il très fier de son obtention aujourd’hui. L’ISO 17025-2017 est une norme internationale spécifiant les exigences générales concernant la compétence des laboratoires d'étalonnages et d'essais. Par conséquent, l’accréditation d’un laboratoire selon la norme ISO/CEI 17025-2017 démontre sa capacité à produire des résultats d’essais, d’analyses ou d’étalonnages, justes et fiables. La conformité à l’SO/CEI 17025-2017 génère de la confiance car l’impartialité et la confidentialité sont vérifiées, la compétence du personnel est démontrée, l’adéquation des installations et des équipements utilisés est attestée, la traçabilité des mesures au Système International d’unités (SI) est assurée, les méthodes d’étalonnage sont validées et respectent les exigences normatives, règlementaires ou contractuelles, l’estimation de l’incertitude de mesure est validée, la qualité des résultats d’étalonnage est garantie et le système de management est efficace. Cette reconnaissance internationale permet aux laboratoires de démontrer leur compétence et leur capacité à produire des résultats valides, renforçant ainsi la confiance qui leur est accordée au niveau national et partout dans le monde. Grâce à l’obtention de cette accréditation ISO/CEI 17025-2017, on pourra apporter une expertise et un savoir-faire avéré et reconnu à travers le monde et on pourra instaurer la confiance avec l’ensemble de notre réseau de partenaires qui sont partie-prenantes dans la sécurité sanitaire et la qualité des aliments qui passent sous notre contrôle avant de pouvoir être commercialisés sur le marché local. Cette accréditation permettra également un meilleur accès des produits djiboutiens et une meilleure promotion de la production nationale sur le marché international.
  • A L’instar Des Pays Du Monde, La République De Djibouti A Célébré Dimanche Dernier La Journée Mondiale De L’Alimentation, à Damerjog, Dont Le Thème Retenu Par Le FAO était « Ne Laisse Personne De Côté ».
  • MAEPE-RH/FAO : Concertations De Fond Sur La Pêche Illicite Et Ses Conséquences
  • MAEPE-RH/BAD : Pour Une Meilleure Résilience Face à L’insécurité Alimentaire
  • MAEPE-RH : Faciliter L’accès à L’eau Potable Et L’assainissement En Zone Rurale
  • Djibouti Participe à La 8ème Conférence Ministérielle De L’OCI Sur La Sécurité Alimentaire Et Le Développement Agricole
  • Première Réunion Du Comité De Pilotage Du PGIRE
  • CÉLÉBRATION DE LA JOURNÉE MONDIALE DE L’ALIMENTATION À DJIBOUTI SOUS LE HAUT PATRONAGE DU PREMIER MINISTRE ABDOULKADER KAMIL MOHAMED
  • Renforcement De La Résilience, Face à La Sècheresse Des Petits Agriculteurs Et Des éleveurs Dans La Région De L’IGAD
  • Le Ministre De L’Agriculture Prend Part Au Sommet Mondial Sur Les Systèmes Alimentaires
  • Sensibilisation Sur Le Processus D’examen Biennal Du 3e Rapport PDDAA De L’Union Africaine
  • Formation De Recyclage Des Auxiliaires Des élevages FAO/Direction De L’Elevage à Ali-Sabieh
  • Cérémonie De Réception D’un Aéronef Pulvérisateur D’insecticide
  • Djibouti Se Dote De Son Premier Avion Pour La Lutte Anti-acridienne
  • La FAO Et Le MAEPE-RH S’engagent Ensemble Sur Le Terrain Contre Le Criquet Pèlerin
  • Lancement Officiel Du Projet De Gestion Intégrée Des Ressources En Eau Au Sheraton Hôtel De Djibouti
  • Atelier D’achèvement Du PRAREV : Des Discussions Axées Sur Les Résultats Et Les Réalisations Du Programme
  • Le Ministre Mohamed Ahmed Awaleh Reçoit Une Délégation Du Ministère De L’agriculture De La Jordanie
  • MAEPE-RH/FAO La Lutte Contre Le Criquet Pèlerin : Une Priorité Nationale
  • Eau Potable, Assainissement Et Hygiène : Comment Surmonter Les Difficultés
  • Le LABORATOIRE NATIONAL D’ANALYSES ALIMENTAIRES (LANAA) Vient D’obtenir L’accréditation UKAF ISO 17025-2017

Projets phares

Nombres de projets en cours ..ou toutes autres informations.

PAEPARC - Latrine scolaire réalisé par le projet
Ferme damerjog
Centre de quarantaine de Damerjog
PRAREV - Pépinière d’Avicennia à Godoria
DRYLAND - Séances de formation pratique des agriculteurs de Daasbiyo et de Khor Angar
Palmiers dattiers
Centre exportation betai
Centre de production et d'exportation des crevettes
Projet Item 9
Adduction d'eau Ethiopie Djibouti
Eau potable et assainissement á Djibouti ville
Assainissement de Balbala
Resilience secheresse - Puits cimenté
PRODERMO - Citerne enterrée 100 m3
Barrage Weah pk17
PROGRES - Réunion avec le Comité Pilotage (CP) de parcoursDakka – Biida (Dikil).

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La Chaîne Planification-Programmation-Budgétisation-Suivi-Evaluation (PPBSE)  est un outil qui permet d’établir les normes de présentation des dossiers techniques depuis la prospection des projets jusqu’à leur description dans le Plan triennal d’investissements et dans le plan d’investissements annuel.      

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Gestion des courriers

GESTION DES REUNIONS ET DES FORMATIONS

DI MONITORING

GESTION ELECTRONIQUE DES DOCUMENTS

PROGICIEL DELTA

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